L’altruisme est devenu, de nos jours, une denrée rare. Une qualité qui forge les entités et élève les nations. Constamment préoccupé et concerné par le bien-être d’autrui, notre compatriote M. Amine Difallah s’attelle à se frayer des voies propices pour cela.
Apporter son aide et son soutien aux personnes qui en ont besoin devrait être un objectif à suivre. En effet, la seule parade contre l’égoïsme est l’altruisme. Sur cette lancée, Amine Difallah croit ,dur comme fer, aux actions de bienfaisance initiées pour soulager la détresse et l’embarras dans lesquels se trouvent engluées certaines personnes. Souvent, on ne prédit pas sa destinée; elle peut nous faire passer à trépas de manière aussi improvisée qu’injuste.
La discrétion est la marque de fabrique de M. Amine Difallah.
Clairement, les actions caritatives et conseils prodigués ne sont que la partie immergée de l’engagement de M. Difallah dans le concert communautaire au Canada. Tout cela à l’abri des projecteurs et feux de la rampe. Lors de notre préparation de cette missive, un constat nous a sauté aux yeux. La discrétion semble être la marque de fabrique de M. Amine Difallah. La fanfaronnerie ne sied pas à son action altruiste. Amine abhorre les feux des projecteurs.
Le bonheur est né de l’altruisme et le malheur de l’égoïsme.
Enumérer les moments et occasions d’entraide initiés par Amine se fera un jour. Un audit serait le bienvenu.
La communauté algérienne au Canada est en mesure de s’organiser et de faire émerger des projets salvateurs. Réellement, ceux-ci pourraient favoriser l’ancrage positif dans la société d’accueil. À cet effet, M. Difallah est en contact permanent avec des responsables politiques québécois et canadiens de tous bords. Un travail de longue haleine dans le but de bâtir, toujours, des ponts à même de juguler toute problématique pouvant entraver l’harmonie des algériens vivant en terre canadienne.
L’épopée que l’on doit relever : réussir notre intégration au Canada.
Réussir notre intégration au Canada est un leitmotiv qui tient à cœur nombre de compatriotes. Cela ne doit pas être qu’une sinécure mais une épopée que l’on doit relever. Avec brio.
Par Wahid Megherbi
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